Comme un conglomérat charnel de beatles assemblés les un aux autres par un fer à souder la chair on démarre la répète par une prise de bec entre tête juxtaposée et tentative de mordre le nez de l’autre laissant augurer le chaos le plus total et la terreur chez l’auditeur.
Le monstre avance et est bien décidé à tout massacrer, quitte à laisser la tête nadinesque le faire pour ce qui est des vocalises, vociférant des borgborismes incompréhensibles et dignes des grands anciens.
La bête immonde avance donc exhibant ses multiples paires de gonades jusqu’à ce qu’une des têtes regarde vers le bas et remarque ses pieds nus, simples et vulnérables, même pas recouverts d’une merveilleuse pantoufle.
Et le monstre de mourir dans d’affreux et lancinant larsens...