Si les jeunes filles pleurent c’est qu’elles sont tristes.
Une seule solution, éliminer le sujet de leur désarrois.
Il risque de ne pas rester grand chose sur cette planète, mais ce qui survivra à cette hécatombe vaudra la peine d’être vu.
Ce n’est pas que ce qui les rend triste est forcément inutile ou désagréable.
Il ne faut pas croire que leur sensibilité est une mesure de la justice.
D’autres l’ont déjà cru et ne s’en sont pas remis.
En fait tout cela pour ne rien dire ou pour dire le rien.