Such A Disaster
Tout vient à point pour qui sait attendre et pour ce qui est d’attendre, on a pas trop de toute une vie même misérable ou tout simplement médiocre et tiède comme une bière trop longtemps délaissée sur une terrasse ensoleillée.
Le Do dièse dont on devinait la venue et qui laissait de douce veloute ça et là a réussi à s’imposer tel un roi Midas tout de dorure paré et dont le doigt magique sait donner à l’orgasme le préciosité du noble métal. Car c’est bien aux seuls organes auditifs aguerris aux dissonances purpurines que s’adresse ces morceaux.
Ca guingoille, ça traviolise, ça marie des fréquences faites pour le divorce, les abimes du bon gout et du bien tempéré sont violée par delà l’infini et les grands anciens regrettent que les Dieux plus anciens les aient attribués d’appendices auditifs, seul le Do Dièse triomphale sussure dans le néant une ode à Yog Shaggot faite de bruits liquides.
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